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ART, les arts

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Message  Admin Jeu 18 Aoû - 15:59

L’ART


Borges, dans La muraille et les livres, évoque l'art comme «cette imminence d'une révélation, qui ne se produit pas».
1)définitions 1
Art : 3 conceptions successives de l’art 1
2) CITATIONS 2
3) Pistes 2
4) Textes 3
5) Vrac, citations, etc. 6
Vinci (1425-1519) 6
Paul Auster, Moon Palace : 6
Nietzsche (naissance de la philosophie, p34 Smile 6
Onimus 6
Alain (système des Beaux-arts) 6
Marx 6
Baudelaire 6
Hegel (esthétique) 6
Camus 7
Kant 7
Nietzsche 7
Jankélévitch 7
Malraux 7
Quelqu’un 7

1)définitions

art: antonyme: nature; science famille: artificiel, artistique,

1)ensemble de procédés visant à produire un certain résultat (la sc. est indépendante de tte application)(la nature: produit ss réflexion)... dextérité dans l’exercice des métiers manuels(les arts et métiers, l’art de la guerre...)
2)sens esthétique, l’Art ou les arts désignent tte production de la beauté par les oeuvres d’un ê cst.(sc:finalité logique; art:finalité esthétique).
Fonctions: imitation de la Nature; fction éducative; expression de valeurs.

Origine : dextérité dans l’exercice des métiers manuels.
Thèmes : art et imitation de la Nature ; fonction éducative ; expression de valeurs ; l’œuvre ; le beau…
Art : 3 conceptions successives de l’art


Kostas Axelos, Héraclite et la philosophie, p 205

« La première conception occidentale de l’Art est grecque : pour les Hellènes le monde est un bel ensemble bien ordonné, un cosmos harmonieux, une structure globale qui contient et équilibre les forces négatives qui la menacent constamment. L’artiste exprime par ses œuvres –poétiques et plastiques- cet ordre et cette beauté cosmique, en voyant dans le particulier un signe de l’universel ; il imite ainsi la Nature. »…
« La deuxième grande conception de l’Art est judéo-chrétienne ; le Monde est vu comme créé ex nihilo par un Dieu absolu et transcendant, et destiné à se résorber finalement en lui. Toute créature humaine peut à son tour créer, mais malgré toute sa puissance de création, c’est à dire de re- création, l’homme reste foncièrement impuissant. »…
« La troisième conception de l’Art est moderne ; à partir de la Renaissance, l’homme moderne, fort de son Moi et de sa conscience de soi, se dresse face à la Nature et veut la soumettre à sa Raison. L’artiste moderne s’annexe tous les éléments du monde à travers son art ; il est le sujet qui s’approprie les objets, bien que tout grand artiste soit infiniment plus qu’un sujet aux prises avec des objets. »…


Imitation de la nature
Mais quelle nature s’agit-il, pour les classiques, d’imiter ? « Non point le particulier, ni le monstrueux, car reproduire ce qui semble singulier, ce n’est pas faire de l’art mais faire de l’ « enregistrement »(ce que voudront précisément faire les arts réaliste et naturaliste du XIX° siècle, ce que faisait déjà à sa manière l’esthétique dominante à la fin du XVI° siècle et au début du XVII° siècle, qu’on appelle aujourd’hui l’esthétique baroque ? Faire de l’art, c’est reproduire la nature au travers du critère de la raison : c’est saisir ce qui dans la nature est permanent, achevé, universel.» Georges Forestier, introduction à l’analyse des textes classiques, p11.
Baudelaire, quant à lui, détournera le terme de « nature », celle à laquelle il convient de rester fidèle : c’est la mienne… (contre le réalisme).



esthétique:(étymologie :sensation; esthète= qui sent)
adj. qui concerne le Beau.(ex:émotion esthétique)
nom, sc. ayant pour objet le jugement d’appréciation en tant qu’il s’applique à la distinction du beau et du laid.

2) CITATIONS
Alain: « Un beau vers n’est pas d’abord en projet et ensuite fait. »
Baudelaire: « l’artiste ne relève que de lui-même »
Hegel: l’oeuvre « ne vise à satisfaire que des intérêts spirituels »
Camus: danger de « l’art de propagande »
Nietzsche: ces mouvements dionysiens « abolissent la subjectivité de l’individu jusqu’à ce qu’il s’oublie complètement. »
Jankélévitch: « la splendeur ne pose pas la valeur, mais elle la met en valeur. »
Platon, la Beauté est fille « de Mesure et Proportion »; penser aussi que l’amour et le beau mènent à la philosophie.
Beauté.doc


3) Pistes
FREUD:l’art comme sublimation sexuelle (cf. p 54 )
ARISTOTE: l’art comme catharsis (purgation)(cf. p 58)
Marx: l’art est tjs d’un temps, d’une époque, il ne peut se comprendre hors de la réalité sociale qui lui donne naissance;l’art exercerait un attrait « enfantin »...un charme...

4) Textes
Introduction à une esthétique de la littérature, G. PICON (1953)

L'œuvre que nous aimons et que nous apprenons toujours à mieux connaître est comme un être aimé dont nous serions assurés que nous ne le perdrons pas, et que nous pourrons l'aimer toujours davantage pour le voir et le posséder mieux chaque jour. Peut-être est-ce l'art qui nous révèle le seul amour indéfectible, le seul amour dérobé à l'usure et à la destruction. Nous aimons certains êtres plus violemment que nous n'aimons les œuvres. Mais leur amour a le goût amer du destin. Le goût de la mort, qu'ils portent en eux, et que nous portons en nous; le goût de notre aveuglement, de notre impuissance. Car nous lie dévisageons les êtres les plus chers qu'à travers un nocturne de délire, tout proche de celui où nous cherchons notre propre image à tâtons : nous ne les connaissons pas. Que reste-t-il d'une vie au creux de la main qui se crispe : quelques chuchotements obscurs, quelques images noyées... Choses si mal possédées et si fugitives, oubliées, oublieuses, trahissantes, trahies, radeaux de dérive... Tout cela s'éloigne de nous, qui nous éloignons de tout cela, et les neuves rencontres de notre vie, bientôt nous nous retournerons vers elles, nous ne les verrons plus qu'à peine, puis plus du tout...
Or, plus nous avançons dans le temps, plus les œuvres que nous aimons nous semblent riches, proches, possédées. Elles seront là demain, et à l'avenir, et non point figées dans une éternité muette : renouvelées par chacune de nos approches. Les œuvres que nous aimons sont toujours à naître : elles seules ne savent pas mourir ni s'éloigner. Quand nous reprenons l'une d'elles, c'est comme si nous entrions dans une maison familière dont nous n'aurions pas encore poussé toutes les portes : et nous pénétrons dans ces chambres nouvelles sans l'angoisse qui nous fait craindre qu'un être cher y mourra. Vivre dans la connaissance et dans l'amour de l'art n'est pas vieillir, ni perdre ni oublier. Ici, nous possédons les choses dans un temps qui ne signifie plus usure, mais découverte, qui n'est plus séparation, mais possession. Joyaux ensevelis, fermés sur leurs secrets, qui dorment, loin de nos yeux, leur sommeil de blocs invulnérables, les poèmes que nous savons par cœur gardent pour nos regards futurs des éclats insoupçonnés. Sous la couverture qui semble les clore comme la porte d'un palais muré, les pages que nous avons lues tant de fois ne nous ont pas dit encore tout ce qu'elles ont à nous dire. Au fond de leur avenir toujours vivace, nous ignorons quelles traînées de feu sur des pierreries jamais vues allumeront les vers de Mallarmé en leurs reflets réciproques; quels Orénoques du cœur humain couleront vers nous avec les vers de Baudelaire; quelles étincelles d'or Rimbaud fera jaillir des apparences détruites; quelles inflexions prendra la voix de Verlaine, de Heine, de Keats, de Shelley; quelles grappes Hölderlin cueillera dans le verger des dieux; quels rêves rencontrera Nerval au-delà de la porte d'ivoire et de corne; et quels éclairs, à cette extrême pointe du Promontoire du Songe où Hugo est monté, arracheront ses porches et ses angles à la géométrie des ténèbres. J'ignore avec quelle émotion toujours jeune je reverrai dans les yeux de Félix les épaules nues d'Henriette, et, avec Pierre, lorsqu'il la voit venir vers lui dans le bal, la gorge éblouissante d'Hélène. J'ignore quelle sera ma tristesse lorsque se dénoueront les cheveux blancs de Mme Arnoux, et quelle sera mon angoisse lorsque je retrouverai le Prince et Rogojine devant le cadavre de Nastasia. Je suis loin de connaître encore tous les feux d'auberges familières qui s'allument à travers les brumes errantes de Dickens, toutes les figures de Jugement dernier qui se dressent, pétrifiées dans l'enlacement de leur combat, sous les torches fabuleuses dont Balzac éclaire tant de boue. Je n'ai pas encore épuisé la saveur de l'air vif qui claque, du haut de leur prison, pour les héros de Stendhal - ni l'immensité du grand espace que Tolstoï déroule sur la terre de Dieu... Dans l'avenir, dans un éternel avenir nous attendent, au fond de leurs petites places traversées d'oiseaux et d'enfants, les églises de Venise où dorment des Titiens et des Tintorets que nous souhaitons revoir (la dernière fois, le soleil n'atteignait pas l'autel sombre, le sacristain de conte d'Hoffmann n'avait qu'entrouvert le rideau, et nous n'avons pas bien vu les ailes de l'archange et les mains de la Vierge) - comme nous attend, dressée dans l'avenir ainsi que sur sa plaine, la cathédrale de Chartres que nous n'avons pas vue encore, quoique nous l'ayons vue tant de fois : et la dernière fois seulement, le soleil couchant frappant les vitraux nous révéla dans toute leur orfèvrerie barbare les rois mages pour tarots cruels et, dans sa levée d'aube bleue, Notre-Dame-de-la-Belle-Verrière...
Avec les grandes œuvres qu'à chaque étape de notre expérience de l'art nous apprenons à mieux connaître, nous vivons comme nous aimerions vivre avec les êtres que nous aimons : en dehors du destin.


- Les Voix du silence, A. MALRAUX (1951)

L'art ne délivre pas l'homme de n'être qu'un accident de l'univers; mais il est l'âme du passé au sens où chaque religion antique fut une âme du monde. Il assure pour ses sectateurs, quand l'homme est né à la solitude, le lien profond qu'abandonnent les dieux qui s'éloignent. Si nous introduisons dans notre civilisation tant d'éléments ennemis, comment ne pas voir que notre avidité les fond en un passé devenu celui de sa plus profonde défense, séparé du vrai par sa nature même? (...) Chacun des chefs d'œuvre est une purification du monde, mais leur leçon commune est celle de leur existence, et la victoire de chaque artiste sur sa servitude rejoint, dans un immense déploiement, celle de l'art sur le destin de l'humanité.
L'art est un anti-destin. L'humanisme, ce n'est pas dire: " Ce que j'ai fait, aucun animal ne l'aurait fait ", c'est dire: " Nous avons refusé ce que voulait en nous la bête, et nous voulons retrouver l'homme partout où nous avons trouvé ce qui l'écrase, " Sans doute, pour un croyant, ce long dialogue des métamorphoses et des résurrections s'unit-il en une voix divine, car l'homme ne devient homme que dans la poursuite de sa part la plus haute; mais il est beau que l'animal qui sait qu'il doit mourir, arrache à l'ironie des nébuleuses le chant des constellations, et qu'il le lance au hasard des siècles, auxquels il imposera des paroles inconnues. Dans le soir où dessine encore Rembrandt, toutes les Ombres illustres, et celles des dessinateurs des cavernes, suivent du regard la main hésitante qui prépare leur nouvelle survie ou leur nouveau sommeil...
Et cette main, dont les millénaires accompagnent le tremblement dans le crépuscule, tremble d'une des formes secrètes, et les plus hautes, de la force et de l'honneur d'être homme.

- M. Proust, "La Prisonnière"

Mais un critique ayant écrit que dans la VUE DE DELFT de Vermeer ( prêté par le musée de La Haye pour une exposition hollandaise ), tableau qu'il adorait et croyait connaître très bien, un petit pan de mur jaune ( qu'il ne se rappelait pas ) était si bien peint qu'il était, si on le regardait seul, comme une précieuse œuvre d'art chinoise, d'une beauté qui se suffirait à elle-même, Bergotte mangea quelques pommes de terre, sortit et entra à l'exposition. Dès les premières marches qu'il eut à gravir, il fut pris d'étourdissements. Il passa devant plusieurs tableaux et eut l'impression de la sécheresse et de l'inutilité d'un art si factice, et qui ne valait pas les courants d'air et de soleil d'un palazzo de Venise, ou d'une simple maison au bord de la mer. Enfin il fut devant le Vermeer qu'il se rappelait plus éclatant, plus différent de tout ce qu'il connaissait, mais où, grâce à l'article du critique, il remarqua pour la première fois des petits personnages en bleu, que le sable était rose, et enfin la précieuse matière du tout petit pan de mur jaune.



ALAIN, p 38
1)quelle est l’idée principale du texte?
Thème: l’artiste et l’artisan
Thèse: ce qui les distingue c’est que, dans l’artisanat(industrie;technique) « l’idée précède et règle l’exécution ».
2)les étapes de l’argumentation.
a) thèse: « l’idée précède et règle l’exécution ».
b)remarque sur cette thèse: « encore que » « l’œuvre...redresse l’idée »cad que l’idée conçue préalablement à sa réalisation peut se trouver modifier en cours même de réalisation.
c)le cas du peintre de portrait: « l’idée lui vient à mesure qu’il fait »
d) conclusion: la règle du beau n’apparaît que dans cette oeuvre et lui est intimement liée; il n’y a dc pas de « recette »en art!


J-P Sartre p 47 étude du premier paragraphe uniquement!
1)
Thème: l’oeuvre d’art est le produit d’une création et d’une interprétation
Thèse:critique de la formule kantienne selon laquelle l’Oeuvre d’art est une « finalité sans fin »; l’art n’a pas de fin il est une fin!

2)les étapes de l’argumentation
a)refus de la formule kantienne
b)pourquoi ce refus:la formule kantienne oublie que l’imagination du spectateur a une fction constitutive de l’Oeuvre d’art(pas seulement régulatrice).
c)conséquence: théorie kantienne permet d’assimiler le beau naturel et le beau artistique
d)critique de cette conséquence:(« mais c’est justement l’erreur »)
l’art n’a pas de fin il est une fin
Pour Kant(selon Sartre):l’oeuvre existe d’abord et ensuite elle est vue
Or, l’appel à être vue est partie constitutive et essentielle de l’oeuvre même;elle n’existe comme telle que si on la regarde(esthétiquement).




Freud, p 54
1)
Thème:la sublimation dans l’Art
Thèse:l’artiste est « un introverti »(quasi névrotique)qui par insatisfaction concentre son intérêt sur la vie imaginative.
2)étapes argumentatives
a)thèse: l’artiste est « un introverti »(quasi névrotique)
b)dvpt de cette thèse:il veut la puissance , le sexe et la gloire...MAIS « les moyens lui manquent ».
« C’est pourquoi, coe tt homme insatisfait »il se détourne de la réalité au profit de la vie imaginative....Danger de névrose et(argument de fait) « l’on sait combien st nombreux les artistes qui... »
c)l’artiste retrouve la réalité ...
d)parenthèse:bcp vivent une vie imaginative, MAIS n’en tirent qu’un plaisir limité
e)retour à l’artiste: MAIS le véritable artiste...
1)ses créations deviennent source de plaisir pour les autres!
2)il sait les embellir pour dissimuler leur origine suspecte
3)le plaisir qu’il se donne parvient à masquer(du moins provisoirement)ses refoulements.


5) Vrac, citations, etc.

..\18°\DIDEROT\Diderot l'art et l'imitation.doc

Vinci (1425-1519)
« Le peintre seul rend visible en une fois » ; le poète : « n’a pas le pouvoir de dire plusieurs choses en une fois »

Paul Auster, Moon Palace :
« Il découvrit que le vrai but de l’art n’était pas de créer de beaux objets. C’était une méthode de réflexion, un moyen d’appréhender l’univers et d’y trouver sa place, et les éventuelles qualités esthétiques que pouvaient offrir une toile individuelle n’étaient que le sous-produit presque accidentel de l’effort accompli pour s’engager dans cette quête, pour pénétrer au cœur des choses. »

Nietzsche (naissance de la philosophie, p34 Smile
Voyez l’Art, mes frères, il en est de lui comme de moi [la Philo], nous sommes réfugiés chez les Barbares et nous ne savons plus à qui nous vouer. »
Comparaisons, parallèles entre les mots pour le poète et « l’expression de toute intuition philosophique profonde » traduite par « la dialectique et la réflexion scientifique » : « c’est un moyen misérable. »

Onimus
Les arts ont « cessé de représenter, de rejouer une nature aimée. »p34, mais ils « sont restés spontanément fidèles à leur mission poétique qui est de nous relier envers et malgré tout au cosmos, et à nous-mêmes à travers lui. »

Alain (système des Beaux-arts)
« Un beau vers n’est pas d’abord en projet et ensuite fait. »

Marx
(intro à la critique de l’économie politique) analogie entre l’art bourgeois et le charme de l’enfance.

Baudelaire
« L’artiste ne relève que de lui-même. »

Hegel (esthétique)
Désir diffère de l’art. L’œuvre « elle ne vise à satisfaire que des intérêts spirituels » ( !).

Camus
Danger de « l’art de propagande ».

Kant
(critique de la faculté de juger) La satisfaction est produite par un objet sans « intérêt » personnel. « Cet objet doit contenir un principe de satisfaction pour tous. » Le jugement esthétique prime sur le jugement logique « car on peut le supposer valable pour chacun », mais « sans concept ». Cette universalité subjective est « liée au jugement de goût ». « Finalité sans fin »…
Nietzsche
(NDT) ces mouvements dionysiens « abolissent la subjectivité de l’individu jusqu’à ce qu’il s’oublie complètement .»
Jankélévitch
(JNSQ) « La splendeur ne pose pas la valeur, mais elle la met en valeur. »

Malraux
« Rimbaud ne commence pas par écrire du Rimbaud informe, mais du Banville ; de même, si nous changeons le nom de Banville pour Mallarmé, Baudelaire, Nerval, Victor Hugo. Un poète ne se conquiert pas sur l’informe, mais sur les formes qu’il admire. »


Quelqu’un
« machines à supprimer le temps. »

Martial
Dans le livre X compare son art au vert-de-gris qui ronge le bronze.

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